Alain Malary, qui êtes vous ?
J’ai 63 ans je suis né à BATZ SUR MER village de Trégaté.
Je suis marié un enfant, deux petits enfants résidents à BATZ
J’ai accompli toute ma carrière ainsi que mes études
professionnelles chez AIRBUS Saint-Nazaire comme technicien qualiticien en
aéronautique.
J’ai eu la chance
d’exercer mes dernières années
d’activités entre la France et l’étranger.
Dès le début de ma vie active Batzienne,
J’ai été bénévole et ensuite président de L’ESPERANCE BASKET pendant 6 ans.
J’ai également été président de
l’office municipal des sports à BATZ de
1995 à 1998, fondateur et président du club moto de BATZ, conseiller municipal à BATZ de
1983 à 1995.
Je suis encore aujourd’hui
entraineur bénévole de basket.
Vous avez rejoint la liste d’Adeline L’Honen pour les
prochaines municipales, quelles ont été les raisons de cette décision ?
Pour la concertation, l’écoute
et le respect des concitoyens
Si vous êtes élu, quelles compétences ou expérience
mettrez vous au service de la municipalité ?
Ma connaissance
de la commune de ses habitants et
de ses associations.
Ma disponibilité
et le contact envers mes concitoyens.
Jean Severin qui êtes-vous ?
J’ai passé le
cap de 80 ans et je crois toujours que le meilleur est pour demain. J’habite le
bourg de Batz depuis 1948, je suis marié, j’ai 3 enfants et 5 petites filles.
Responsable
d’un commerce à Batz et après une formation plus poussée sur la gestion, j'ai
organisé des conférences et des stages. Connaissant les problèmes du petit
commerce et de son attente, il m'était facile, après mes formations, de
traduire son message. Mais n'ayant aucun diplôme je n'ai pu continuer (Hélas!
aux yeux de la loi, l'expérience ne suffisait pas).
C’est toujours
avec le soutien de ma femme que notre vie s’est construite et se poursuit
aujourd’hui.
Vous
avez rejoint la liste d’Adeline L’Honen pour les prochaines municipales,
quelles ont été les raisons de cette décision ?
Depuis l’âge de 14 ans je suis engagé
dans des mouvements d’action syndicale ou politique, (A l’époque c’était
la J.O.C.).
Plus tard ce
fut les guerres d'Indochine et d’Algérie (j’ai lutté de toutes mes
forces contre ces guerres coloniales).
Puis ce fut mon adhésion au P.S.U., avec Michel
Rocard.
Ces différents engagements
m’ont conduit à de nouvelles et passionnantes responsabilités, (je
fus adjoint au maire). Ils m’ont sensibilisé à certains problèmes, dont celui
de la délinquance. Je me souviens encore de mes déplacements au tribunal pour
défendre des jeunes et demander la clémence des juges.
Adeline m’a demandé d’être présent sur
cette liste. J’ai accepté et je partage l’enthousiasme des autres colistiers pour
agir pour l’avenir de Batz. J’y crois encore malgré mes 80 ans. Ils sont
motivés et je sais que seuls nous ne pouvons faire grand chose.
Voici pourquoi,
à 80 ans, je me retrouve candidat encore aujourd’hui.
Si vous êtes élu,
quelles compétences ou expérience mettrez vous au service de la
municipalité ?
Je crois en l’homme, je crois aux idées
d’humanisme et j’essaye de
les faire rayonner afin qu’un plus grand nombre de personnes soient reconnues
en qualité d’être humain, qu’ils soient écoutés et respectés.
Je ne peux me retenir de nommer
ici les paroles de Stéphane Hessel :
"CREER
C'EST RESISTER, RESISTER C'EST CREER".
Orchidée Roshdi, qui êtes vous ?
J'ai 22 ans et je suis étudiante en master juridique à la Roche sur Yon. Je suis née en Belgique en 1991, d'une mère française et d'un père iranien. A l'age de 7 ans, ma famille s'installe à Malaga en Espagne. C'est 6 mois plus tard que je pose mes valises à Batz avec ma mère, auprès de ma grand-mère et de mes arrière-grands-parents, résidant depuis 50 ans maintenant à Kervalet. C'est dans cet environnement très diversifié tant au niveau culturel que générationnel que j'ai grandi, ce qui m'a apporté une grande ouverture d'esprit et ma passion pour les langues. J'ai aussi d'autres passions, toutes nées à Batz sur Mer grâce aux différentes associations culturelles et sportives, et notamment, le karaté, le théâtre ou encore la musique.
Quelles ont été les raisons de votre engagement sur la liste de Mme L'Honen ?
Malgré mon jeune âge, j'ai eu la chance de beaucoup voyager, et je dois dire que je n'ai jamais été aussi bien accueillie qu'à Batz sur Mer où j'ai lié de vraies amitiés. J'aime ma commune, c'est ici que je me sens chez moi. Aussi, je déplore de voir mon école fermer ses classes année après année. Je suis triste de voir que ma salle des sports est laissée à l’abandon. Je suis déçue de voir mes amis être contraints de quitter la ville à cause des loyers trop élevés. Et je suis inquiète quant à l'avenir des associations dont j'ai fait partie. Tout cela m'a donné envie de participer à l'amélioration de ma commune. C'est pourquoi, lorsque Adeline m'a contactée, je n'ai pas longtemps hésité. Après l'exposition de ses projets qui se trouvaient être en parfait accord avec mes attentes, j'ai décidé de m'engager sur sa liste.
Quelles pourraient être vos compétences au sein de la municipalité ?
Je suis une jeune femme curieuse et dynamique. J'ai occupé la place de trésorière dans l'association étudiante de l'université de la Roche sur Yon et de trésorière adjointe dans l'association humanitaire du lycée La Mennais de Guérande sans compter les autres associations dans lesquelles je me suis investie. Ces expériences dans le domaine associatif m'ont permis de développer un grand sens des responsabilités et de l'engagement. Mon jeune âge et mon sens de l'écoute me permettent de connaître ou à défaut de comprendre les besoins des plus jeunes membres de la commune. Ma formation juridique m'a permis d'acquérir rigueur et organisation ainsi que des connaissances qu'il me tarde de mettre au service de la commune.
Evelyne Provost, qui êtes-vous ?
Le hasard m’a fait venir à Batz une première
fois à 17 ans comme animatrice de colonie de
vacances au Centre Marceau, qui appartenait à la Fédération des Œuvres Laïques
d’Eure et Loir, département où je vivais alors.
Puis Loïc que j’ai connu en Eure
et Loir a eu l’opportunité de travailler à l’école de voile Valentin. Nous
habitons à Batz à Poulan depuis plus de 30 ans maintenant ;
Nous avons 3 enfants, aujourd’hui
étudiants de 22, 27 et 28 ans.
Je suis Infirmière, je travaille
dans le Centre de Rééducation et Réadaptation de Pen Bron, où je suis aussi
Secrétaire du Comité d’Entreprise et déléguée du personnel.
Depuis toujours je suis engagée au niveau
professionnel : syndical pour la défense des droits collectifs et
individuels et au niveau associatif : Amicale Laïque, Association de parents
d’élèves de Batz, FCPE en collège et lycée où étaient scolarisés les enfants,
Association les Nuits Salines depuis la première édition…
On prend nos vacances le plus
souvent en hiver …
Les raisons de mon engagement ?
Mon engagement dans ma vie professionnelle, dans la
vie associative à Batz m’a conduit logiquement dans l’équipe dynamique
d’Adeline L’Honen.
Parce que c’est une équipe forte d’humanisme, de talents,
d’expériences.
Parce que c’est une équipe qui veut redonner à Batz
la vie qui était la sienne, active, humaine, solidaire et ceci tout au long de
l’année.
Parce que c’est une équipe convaincue qu’on est plus
intelligent en écoutant la parole des autres et en la respectant.
Parce que je ne veux pas vivre dans « une belle
endormie »
Véronique Lehuédé, qui êtes-vous ?
J'ai 46 ans et j'habite le village de Kermoisan depuis ma naissance. J'y ai connu joie, convivialité et solidarité avec les villages voisins, la chance de pouvoir profiter de la mer et des marais salants tout en étant à la campagne puisque j'allais chercher le lait à l'étable juste à côté de chez nous, mais aussi le bonheur d'être entourée de villageois aux fortes personnalités et au phrasé cocasse digne d'un scénario de Michel Audiard.
A 20 ans je monte à Paris pour trouver du travail, et j'en profite pour retenter ma chance de devenir ébéniste. Je décroche un contrat d'apprentissage et je me forme dans un CFA près du Faubourg St Antoine où j'obtiens mon Brevet des Métiers d'Art en ébénisterie.
Petit salaire d'apprentie rime avec débrouille parisienne, ainsi que solidarité et rencontres riches en humilité. En tout, 10 années trépidantes passées à aménager de la chambre de bonne jusqu'aux hôtels particuliers d'artistes connus, des musées et des cinémas, jusqu'aux ambassades en France et à l'étranger. Paris sera toujours mon deuxième pays.
A 30 ans je reviens dans mon village de cœur, à Kermoisan, je travaille pour plusieurs entreprises d'Agencement-Ebénisterie de la région, et décide dernièrement de voler de mes propres ailes.
Les raisons de mon engagement ?
Comme expliqué précédemment, j'ai connu l'harmonie à Batz-sur-Mer, même si cela n'était pas parfait. Habiter une ville, un village, riches en histoire et forts de la personnalité de ses habitants, crée quelques moments parfois tendus, mais jamais irréversibles quand on prend le temps de s'expliquer.
Or ces dernières années, j'y ai vu se multiplier les chantiers à vitesse grand « V », au nom d'une cité de caractère qui dans son obtention en a oublié que le caractère d'une cité, passe aussi par celui des habitants qui la compose. Mais à quel moment nous a t-on demandé ce que l'on en pensait ? Pire, à quel moment nos réflexions pour une conservation de notre qualité de vie ont-elles été prises en compte ? Jamais !!
Les villageois de Kermoisan ne reconnaissent plus leur village, fait de leurs âmes et de leurs histoires. L'insécurité routière toujours présente, les dessertes et les accès riverains devenus dangereux, le bruit de la circulation aggravée, l'inégalité de la qualité de vie entre les villageois, ont augmenté les tensions ; tout ceci créé par l'aménagement décidé par la municipalité. Finie la belle harmonie.
C'est pour cette raison que j'ai décidé d'apporter mon aide à la liste « Batz c'est vous », car elle s'est unie autour d'un projet commun, celui de redonner sa place aux habitants de Batz de pouvoir participer aux décisions et de mener une politique à l'écoute de leurs besoins.
Jean-Luc Favreau, qui êtes vous ?
J'ai 66 ans, marié, 2 enfants, grand père heureux. J'ai exercé la profession de professeur des écoles,
Mon épouse et moi, après quelques années de résidents secondaires, nous nous sommes installés à Batz en 1997, séduits par cette commune si riche de sa variété.
Depuis, je me suis beaucoup investi dans la vie associative locale.
Par exemple, peut-être par nostalgie de mon métier, j'anime depuis plusieurs années, avec mes amis plaisanciers, les sorties « découverte de l'estran » en direction des écoles, avec l'office de tourisme ou dans le cadre des Nuits salines.
Vous avez rejoint la liste d'Adeline L'Honen, quelles ont été les raisons de cette décision ?
Je connais Adeline depuis de longues années (même si elle est toujours jeune...) Je sais sa force de travail, son désintéressement. Aussi lorsqu'elle m'a demandé de la « seconder », je n'ai pas hésité un instant.
Le moins que l'on puisse dire est que je ne le regrette pas, car nous avons été rejoints par des femmes et des hommes de grande qualité, d'horizons divers, animés du seul souci du bien commun.
Pour avoir participé à pas mal de campagnes électorales, je peux dire que jamais je n'en ai vécu une où l'on travaille autant et dans une ambiance aussi amicale et sereine. Je suis persuadé que cela transparait dans les divers documents, articles soumis aux batziens. Les premiers retours sont si favorables que je ne peux qu'être (raisonnablement) optimiste.
Quelles pourraient être vos compétences au sein de municipalité ? Quelles fonctions pourriez vous y exercer ?
Mes engagements passés et présents dans le monde associatif et culturel me font penser que je pourrais rendre service dans ces domaines. Bien évidemment, je suis sûr que l'extraordinaire esprit d'équipe qui règne dans notre groupe perdurera si, comme je l'espère, les batziens nous font confiance.
Marc Hellegouarch, qui êtes vous ?
Je suis né en 1960. C’est quand je fais mes premiers pas,
que mes parents acquièrent un terrain et construisent plage Valentin. Ils
l’ignoraient encore, mais cela a été déterminant dans ma vie. S’en suivent des
tonnes de souvenirs. Batz sur Mer rime avec vacances, liberté, bonheur,
découverte. J’y connais les moindres rochers et coins de pêche, les cachettes
dans les tamaris ; j’y ai pratiqué voile et planche à voile, et surtout je
m’y suis fait des amis pour la vie.
Après une propédeutique à Paris, je quitte la France en
1982 pour poursuivre mes études supérieures en Californie aux Etats-Unis.
Diplômé « Doctor of Chiropractic » du « Los Angeles College of
Chiropractic » , je rentre en France en 1987 accompagné de Lisa rencontrée aux USA , pour lui faire
découvrir mon petit paradis : Batz sur Mer et la merveilleuse plage Valentin.
Amoureux de la mer, j’aurais très bien pu m’installer à Malibu ou Laguna Beach
en Californie dans un cadre que beaucoup considèrent comme idyllique. Mais c’est
à Batz que j’ai toujours souhaité vivre et établir ma famille. Et ce rêve est
devenu réalité. Nous nous sommes mariés à Batz . Nos deux enfants y ont grandi.
Et chaque jour nous prenons conscience de la chance que nous avons de vivre
dans cette merveilleuse région entourés de nos amis Batziens.
Les raisons de mon engagement ?
Peut être suis-je naïf ? Peut être suis-je rêveur et
idéaliste ? J’ai toujours rêvé d’un monde où il faisait bon vivre et où
les habitants vivaient simplement en bonne intelligence, respectueux les uns
des autres, et de leur diversité . Et c’est ainsi que je percevais Batz et ses
occupants. Je me souviens d’une municipalité de gauche et d’un curé à la forte
personnalité (Henri pour ne pas le nommer) et tout ce petit monde
authentique au caractère bien trempé , qui savait composer et se respecter. Oui
je suis un nostalgique de cette époque. Plus que droite ou gauche, ce qui
importait c’était le résultat : le bien vivre ensemble. Et les animosités
se dissipaient en trinquant au petit bois pour le pardon de la Saint-Guénolé.
Chacun avait ses idées, les gens savaient se parler , parfois durement, mais
il y avait du dialogue.
J’ai brutalement pris conscience que les choses avaient
changé lorsque j’ai été confronté à une impossibilité de dialoguer avec les
responsables de la municipalité actuelle lors de la construction du poste de
secours de la Plage Valentin. Et j ai réalisé que je n’étais pas seul à
rencontrer ces difficultés de communication.
Comment peut on envisager de gouverner sans
dialogue ? J'ai été tout d’abord révolté puis indigné. Mais cela ne suffit
pas à faire changer un mode de fonctionnement.
C’est pour cela que j ai décidé de m’engager auprès
d’Adeline l’Honen, une humaniste qui a su rassembler des Batziennes et des
Batziens autour d’un projet sincère : une autre pratique municipale où nous
serons vraiment à l’écoute des habitants et au service de l’intérêt général .
Quelles pourraient être vos compétences au sein de la
municipalité ? Quelles fonctions pourriez-vous y exercer ?
Je pense que c’est déjà en s’impliquant localement que
nous pouvons espérer voir se mettre en place une société dans laquelle il fera
bon vivre et où l’humain trouvera sa juste place.
Dans le cadre de mes activités professionnelles je
rencontre au quotidien des personnes en souffrance ou en difficulté. J'ai
beaucoup appris au contact des autres et je prends du plaisir à essayer de
comprendre et aider les personnes que je rencontre. Un poste de conseiller
municipal dans le domaine social pourrait tout à fait me convenir.
Jean Claude Lemasson, qui êtes-vous ?
Je suis né à
Rennes en 1943, j’y ai fait mes études jusqu’au bac. Etant l’ainé d’une famille
de 4 enfants, j’avais 18 ans quand j’ai
commencé à travailler après le décès de mon père. Après mon mariage, j’ai
repris mes études en travaillant,
jusqu’à mon diplôme de sortie de l’Ecole Nationale Supérieure de Sécurité
Sociale. Je n’oublie pas le soutien que mon épouse m’a apporté pendant toutes
ces années. J’ai fait toute ma carrière dans des organismes de protection
sociale, mes dernières responsabilités furent celles de directeur adjoint de la
Caisse Nationale des Allocations Familiales. J’exerce toujours une activité
d’expert international pour les projets européens dans les domaines de la
protection sociale et de l’économie sociale.
J’ai un fils
et quatre petites filles.
Vous avez rejoint la liste d’Adeline
L’Honen pour les prochaines municipales, quelles ont été les raisons de cette
décision ?
Je suis venu la
première fois à Batz en 1949, j’avais à peine 6 ans, j’y suis revenu chaque
année depuis. Je suis batzien, non pas par le hasard de la naissance, mais
parce que j’ai décidé d’y vivre. J’aime
cette terre faite d’histoire, de culture et de dur labeur, j’aime cette
alliance entre la terre et la mer, à la fois paisible et brutale.
Depuis ces
dernières années, j’ai été choqué par la gestion municipale, autoritaire,
égocentrée, dispendieuse, oubliant les promesses et sans vision globale de
l’avenir de notre commune, de plus je ne
veux pas vivre dans une cité de caractère sans âme.
J’ai donc
rencontré Adeline L’Honen et quelques uns de nos colistiers d’aujourd’hui et
j’ai constaté que nous partagions les mêmes valeurs : respect et attention
aux autres, ambition partagée pour un avenir
actif de Batz, volonté de renforcer un
lien social entre les générations, certitude que la commune est le lieu
privilégié d’un renouveau social et économique,
confiance dans la complémentarité de l’action des associations….
J’y ai trouvé
sérieux, compétences et travail, mais aussi amitié et bonne humeur. C’est donc
tout naturellement que j’ai rejoint la liste d’Adeline L’Honen pour apporter ma
contribution au projet « Batz c’est vous ! »
Si vous êtes élu, quelles compétences ou
expérience mettrez vous au service de la municipalité ?
Mon expérience
professionnelle m’a permis de maîtriser les domaines budgétaires, la conception des systèmes
d’information, la relation de service, la
gestion des ressources humaines, la formation des personnels …..
Mes activités au
niveau international m’ont amené à mettre en œuvre des compétences spécifiques
liées à la négociation politique au plus haut niveau, à la production
législative et règlementaire, à la gestion de projet, à l’évaluation des
politiques publiques……
Il me tarde de
mettre toutes ces compétences au service de l’intérêt des batziennes et des
batziens, à celui de la définition
concertée des projets et à leur mise en
œuvre, à leur évaluation, au niveau de notre commune comme à celui de Cap
Atlantique parce qu’une partie de notre avenir commun se jouera aussi là.
Monsieur Jean-Claude Fournier, qui êtes-vous ?
J’ai 64 ans, je suis marié et père de 2 enfants. Comme beaucoup de femmes et d’hommes de ma génération, j’ai accompli toute ma carrière professionnelle dans la même entreprise. Cadre supérieur à La Poste, j’ai eu la chance d’exercer mes activités à l’international essentiellement et de m’enrichir des expériences humaines et professionnelles de collègues du monde entier. Mes principaux centres d’intérêt sont la musique, le sport en général et les randonnées que je continue à pratiquer régulièrement. En tant que citoyen, je m’intéresse également aux questions d’actualité et à l’évolution de notre société.
Vous avez rejoint la liste d’Adeline L’Honen pour les prochaines municipales, quelles ont été les raisons de cette décision ?
Dès le début de ma vie active en région parisienne, j’ai éprouvé le besoin et l’envie de m’engager dans la vie associative locale. C’est ainsi que j’ai milité pendant près de 20 ans dans une association de quartier et des associations du secteur culturel. En retraite à Batz sur Mer avec mon épouse, je n’ai pas perdu le goût de l’action collective. C’est d’ailleurs par le canal associatif que j’ai connu Adeline et pris connaissance de son projet municipal. Les valeurs à la base de ce projet, l’écoute et le respect des citoyens et de leurs associations, un programme d’action fondé sur la primauté de l’intérêt général, l’amélioration de la qualité de vie des habitants de la commune, toutes générations confondues, sont celles que j’ai toujours partagées et soutenues. C’est pourquoi j’ai décidé de rejoindre l’équipe conduite par Adeline.
Si vous êtes élu, quelles compétences ou expérience mettrez vous au service de la municipalité ?
Je mettrai au service de notre collectivité ma connaissance et mon expérience de la vie associative et je me réjouis que la concertation entre la municipalité et les associations soit au cœur de notre projet. Je souhaite par ailleurs mettre à profit les compétences que j’ai acquises et développées au cours de ma vie professionnelle pour faire prévaloir l’intérêt général dans tous les domaines de notre action locale, améliorer la qualité de vie de nos concitoyens toutes générations confondues et défendre la cause de notre cité dans le cadre de l’intercommunalité.
Les 23 et 30 Mars prochains, soyez nombreux à soutenir notre action
Attention, nouveau mode de scrutin, ni rature, ni panachage